L’an dernier à presque pareille date j’étais là…

Ah…Carthage et Sidi bou Saïd…Et aussi Tataouine , et Tozeur. Mon village préféré fut sans contredit Chenini : un village dans les montagnes fait de pierre, de gravier, intemporel, surréaliste, aride, secret.
Je crois qu’il faut également absolument voir El Djem une fois dans sa vie. L’amphithéâtre est tout simplement majestueux.
Les parfums entêtés, insistants de la Tunisie; un amalgame inexplicable de fruits, de fleurs; bouquets de jasmin, bougainvilliers et arômes exquis de santal, d’encens…
Sa lumière éblouissante n’a d’égal que ses musiques et ses voix feutrées. Sa culture si riche, si subtile. La collection de mosaïques du musée du Bardo à Tunis est impressionnante, je suis demeurée émue devant tant de beauté.
La douceur des gens rencontrés (oui, oui, malgré l’insistance de certains mâles), qui font preuve d’une belle ouverture et leur curiosité est toute à leur honneur, ce qui rend les échanges très riches. Je conserve un souvenir impérissable de cette dame qui chantait Sidi Mansour dans le hammam en nous frictionnant vigoureusement entre deux aspersions de sceaux remplis d’eau chaude. La moiteur du lieu donnait à son timbre de voix une profondeur abyssale.
J’ai été impressionnée par le désert de sel, les oasis au milieu d’espace subdésertiques, la mine de phosphore et le voyage en train pour nous y rendre, avec les jeunes policiers qui nous interrogeaient mine de rien, sur le ton de la conversation légèrement flirt.
J’ai adoré mon vol en bimoteur au-dessus d’une palmeraie, aux portes du désert à Douz, agrippée à la taille du proprio-pilote : un italien établi là depuis des années, cheveux blancs tout fringant et pas peu fier de se faire enlacer, même si c’est de crainte!
M’ont un peu saoulée les souks et les tactiques de vente agressives de certains vendeurs. Mais bon, ça fait partie de la danse. Et plus souvent qu'autrement, les négociations se font amicalement.
Cette fois-ci, nous nous préparons pour une petite quinzaine de vacances à Djerba la douce. Imaginez le portrait d’une petite tribu relativement éclectique et vous y êtes. Je guetterai les empreintes d’Ulysse, et le chant des sirènes.
Ah…Carthage et Sidi bou Saïd…Et aussi Tataouine , et Tozeur. Mon village préféré fut sans contredit Chenini : un village dans les montagnes fait de pierre, de gravier, intemporel, surréaliste, aride, secret.
Les parfums entêtés, insistants de la Tunisie; un amalgame inexplicable de fruits, de fleurs; bouquets de jasmin, bougainvilliers et arômes exquis de santal, d’encens…
Sa lumière éblouissante n’a d’égal que ses musiques et ses voix feutrées. Sa culture si riche, si subtile. La collection de mosaïques du musée du Bardo à Tunis est impressionnante, je suis demeurée émue devant tant de beauté.
La douceur des gens rencontrés (oui, oui, malgré l’insistance de certains mâles), qui font preuve d’une belle ouverture et leur curiosité est toute à leur honneur, ce qui rend les échanges très riches. Je conserve un souvenir impérissable de cette dame qui chantait Sidi Mansour dans le hammam en nous frictionnant vigoureusement entre deux aspersions de sceaux remplis d’eau chaude. La moiteur du lieu donnait à son timbre de voix une profondeur abyssale.
J’ai été impressionnée par le désert de sel, les oasis au milieu d’espace subdésertiques, la mine de phosphore et le voyage en train pour nous y rendre, avec les jeunes policiers qui nous interrogeaient mine de rien, sur le ton de la conversation légèrement flirt.
J’ai adoré mon vol en bimoteur au-dessus d’une palmeraie, aux portes du désert à Douz, agrippée à la taille du proprio-pilote : un italien établi là depuis des années, cheveux blancs tout fringant et pas peu fier de se faire enlacer, même si c’est de crainte!

Cette fois-ci, nous nous préparons pour une petite quinzaine de vacances à Djerba la douce. Imaginez le portrait d’une petite tribu relativement éclectique et vous y êtes. Je guetterai les empreintes d’Ulysse, et le chant des sirènes.
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