Je ne suis pas très calée en cinéma, même si je vois beaucoup de films (en analyse devrais-je écrire). Je me demande; comment se fait-il que j’ai la nette sensation qu’il y a de plus en plus de films qui se terminent avec une fin ouverte?
Savez, le genre de fin qui nous laisse sur notre appétit. On tergiverse, on discute, on se demande quel serait le destin des protagonistes…
D’accord, c’est…ouvert. Mais ne serait-ce pas le symptôme d’un problème (et je n’ai pas écrit problématique : m’énerve l’emploi de ce mot qui veut exprimer tout à fait autre chose…grrr. Pourrait-on recommencer à utiliser le mot problème, simplement ou lui trouver un synonyme? bref.)… Un problème qui est répandu; l’absence de prise de position claire, le flou dans les propos, le droit de réserve, la peur d’avoir un point de vue éditorial, de se commettre, le fait d’esquiver tout ce qui pourrait entraîner un vrai débat…
À vouloir plaire à tout le monde on ne plaît finalement à personne…
Dans une histoire, il y a un début, un milieu et une fin, habituellement. Pas en ce moment me semble-t-il. On attrape des personnages au vol, on les suit un bout de temps dans un bout d’histoire (qui s’enchevêtre la plupart du temps) et on les laisse là où on peut, avec tous les paramètres possibles et imaginables…Ok, c’est une façon de faire. Mais pour la spectatrice que je suis ce n’est pas souvent satisfaisant!
Est-ce à dire qu'on ne veut pas que les choses se terminent, que l’irrémédiable survienne…encore moins l’irréparable, point final?!
À ce propos, j’ai vu le dernier Woody Allen et je ne pense pas que ce soit un de ses meilleurs films (parce qu’il demeure en surface, il effleure) mais au moins il a le courage de terminer son histoire. Parfois on aurait aimé que le film aboutisse autrement mais si c’était le cas, il s’agirait d’un tout autre film.
Devrait-on revoir l’emploi du fameux : The end?
Savez, le genre de fin qui nous laisse sur notre appétit. On tergiverse, on discute, on se demande quel serait le destin des protagonistes…
D’accord, c’est…ouvert. Mais ne serait-ce pas le symptôme d’un problème (et je n’ai pas écrit problématique : m’énerve l’emploi de ce mot qui veut exprimer tout à fait autre chose…grrr. Pourrait-on recommencer à utiliser le mot problème, simplement ou lui trouver un synonyme? bref.)… Un problème qui est répandu; l’absence de prise de position claire, le flou dans les propos, le droit de réserve, la peur d’avoir un point de vue éditorial, de se commettre, le fait d’esquiver tout ce qui pourrait entraîner un vrai débat…
À vouloir plaire à tout le monde on ne plaît finalement à personne…
Dans une histoire, il y a un début, un milieu et une fin, habituellement. Pas en ce moment me semble-t-il. On attrape des personnages au vol, on les suit un bout de temps dans un bout d’histoire (qui s’enchevêtre la plupart du temps) et on les laisse là où on peut, avec tous les paramètres possibles et imaginables…Ok, c’est une façon de faire. Mais pour la spectatrice que je suis ce n’est pas souvent satisfaisant!
Est-ce à dire qu'on ne veut pas que les choses se terminent, que l’irrémédiable survienne…encore moins l’irréparable, point final?!
À ce propos, j’ai vu le dernier Woody Allen et je ne pense pas que ce soit un de ses meilleurs films (parce qu’il demeure en surface, il effleure) mais au moins il a le courage de terminer son histoire. Parfois on aurait aimé que le film aboutisse autrement mais si c’était le cas, il s’agirait d’un tout autre film.
Devrait-on revoir l’emploi du fameux : The end?
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