samedi 26 juillet 2008

Vie de train


Après avoir passé une nuit dans ce que l'on pourrait appeler "les dépendances" de ce château de Fosseuse, je me disais à bord du train qui nous ramenait vers Paris que les gares sont l'équivalent de la porte arrière des villes. La vue des coulisses, de ces vies que l'on devine à peine, de ces graffitis, ce que l'on pourrait appeler misère ou vie simple me plaît. Rien ne vaut ce coup d'oeil pour jauger ce qui, de face ne se laisse pas aussi bien voir. Parce que la lumière parfois est trop éblouissante.

Aucun commentaire: