Les évènements se sont précipités après le retour de vacances. L'automne, ses couleurs, le retour des outardes, le fraîcheur qui prend le dessus. Beaucoup de choses à dire mais la vitesse de l'ordinateur est inversement proportionnelle à la quantité de trucs qui gisent dedans. Pour tout dire nous fonctionnons au ralenti pendant que la vie nous presse de tous bords tous côtés.
Je voulais écrire quelque chose à propos de la mise en orbite de M. Laliberté. Aussi ridicule que le budget dépensé pour l'occasion. Une procuration infantile de la réalisation de rêve d'enfant...
Il y a des rêves qui méritent de rester à l'état de fantasmes.
Et cette histoire autour de Polanski, à quand l'immunité pour les êtres qui possèdent un QI élevé? Et ceux et celles qui sont gauchers, parce que dans l'opinion publique, on les aiiiiimeux bien les gauchers...
Pour résumer, je déteste tous les passe-droit (petits et grands) et particulièrement ceux faits au nom de la sacro-sainte appréciation du public. Quand on permet aux créateurs en vogue de faire n'importe quoi, au nom du génie et de la démesure c'est encore nos propres fantasmes par procuration que l'on assouvit.
Est-ce que nous en sommes à ce point réduits à confondre le réel et la fiction? Nous vivons dans une société où la dé-responsabilisation côtoie le déficit d'attention.
Abrégeons tout ce qui est trop long, éliminons ce qui est trop complexe, simplifions ce qui est trop difficile...et louons ceux et celles qui en font l'apologie!
Je voulais écrire quelque chose à propos de la mise en orbite de M. Laliberté. Aussi ridicule que le budget dépensé pour l'occasion. Une procuration infantile de la réalisation de rêve d'enfant...
Il y a des rêves qui méritent de rester à l'état de fantasmes.
Et cette histoire autour de Polanski, à quand l'immunité pour les êtres qui possèdent un QI élevé? Et ceux et celles qui sont gauchers, parce que dans l'opinion publique, on les aiiiiimeux bien les gauchers...
Pour résumer, je déteste tous les passe-droit (petits et grands) et particulièrement ceux faits au nom de la sacro-sainte appréciation du public. Quand on permet aux créateurs en vogue de faire n'importe quoi, au nom du génie et de la démesure c'est encore nos propres fantasmes par procuration que l'on assouvit.
Est-ce que nous en sommes à ce point réduits à confondre le réel et la fiction? Nous vivons dans une société où la dé-responsabilisation côtoie le déficit d'attention.
Abrégeons tout ce qui est trop long, éliminons ce qui est trop complexe, simplifions ce qui est trop difficile...et louons ceux et celles qui en font l'apologie!
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