Entre deux lectures le ménage s’impose. Les jours de grand dérangement, comment ne pas être découragée devant la somme de paperasse accumulée? J’ai attaqué le bureau. Cet endroit devenu impraticable est en passe de redevenir envisageable. Il faudrait que je me débarrasse des trois quarts des choses qui tiennent dans cet endroit, pourquoi n’y parviens-je pas? Je m’inquiète moi-même quand je m’entends justifier ma névrose par un sentimentalisme crasse.
Et cette poussière, d’où vient elle? Me suis toujours demandée comment se constituaient les résidus de nos appartements. J’imagine un tas de choses. J’ai un problème avec la balayeuse, c’est le vacarme qu’elle émet. Quant à moi, j’aspire au silence. Cela participe à la violence du geste et à l’urgence. Vous êtes-vous déjà demandés pourquoi on se pressait tant à s’acquitter de cette tâche? Eh bien… voilà... Tous ces gestes brusques et précipités…Il me semble qu’il serait doux qu’elle ronronne, la gestuelle pourrait être fluide, souple, aérienne. Suis-je seule à retrouver toutes ces choses perdues au beau milieu d’une pile de journaux. Comment ont-elles pu se retrouver là?
Cela n’a rien à voir avec le titre du billet, inspiré (ou expiré, tout dépend) par mon amour du crépuscule et qui me donnait envie hier, lorsque je contemplais le ciel au moment précis où le jour se change en nuit, de souhaiter que l’année soit calme, sereine, que cette tranquille immortalité se propage à travers les êtres et puisse permettre de nous rendre meilleurs.
Finalement tout cela a un certain lien : quand je fais du ménage je me promets de ne plus rien acheter qui ne soit absolument nécessaire, de veiller à ne pas surcharger notre planète et de faire des choix qui soient conséquents. Toute une vadrouille. Je feuillette «Le zen des petits riens» de Gary Thorp que l’on m’a offert, sans grand entrain. Mystique dans ma jeunesse, je fus Karaté Kid avant l’heure.
Parlant de cinéma, je n’ai vraiment pas aimé le film The Curious Case Of Benjamin Button. Trop long, trop anecdotique…j’ai cherché en vain l’âme du film en regrettant de n’être pas allée, en lieu et place, voir une expo. Je compte bien me reprendre cette semaine.
Ai également loué «The duchess», pas mal, mieux en tout cas que «Marie-Antoinette» de Sophia Coppola et «Une vielle maîtresse»…visionnés également cette semaine.
Et cette poussière, d’où vient elle? Me suis toujours demandée comment se constituaient les résidus de nos appartements. J’imagine un tas de choses. J’ai un problème avec la balayeuse, c’est le vacarme qu’elle émet. Quant à moi, j’aspire au silence. Cela participe à la violence du geste et à l’urgence. Vous êtes-vous déjà demandés pourquoi on se pressait tant à s’acquitter de cette tâche? Eh bien… voilà... Tous ces gestes brusques et précipités…Il me semble qu’il serait doux qu’elle ronronne, la gestuelle pourrait être fluide, souple, aérienne. Suis-je seule à retrouver toutes ces choses perdues au beau milieu d’une pile de journaux. Comment ont-elles pu se retrouver là?
Cela n’a rien à voir avec le titre du billet, inspiré (ou expiré, tout dépend) par mon amour du crépuscule et qui me donnait envie hier, lorsque je contemplais le ciel au moment précis où le jour se change en nuit, de souhaiter que l’année soit calme, sereine, que cette tranquille immortalité se propage à travers les êtres et puisse permettre de nous rendre meilleurs.
Finalement tout cela a un certain lien : quand je fais du ménage je me promets de ne plus rien acheter qui ne soit absolument nécessaire, de veiller à ne pas surcharger notre planète et de faire des choix qui soient conséquents. Toute une vadrouille. Je feuillette «Le zen des petits riens» de Gary Thorp que l’on m’a offert, sans grand entrain. Mystique dans ma jeunesse, je fus Karaté Kid avant l’heure.
Parlant de cinéma, je n’ai vraiment pas aimé le film The Curious Case Of Benjamin Button. Trop long, trop anecdotique…j’ai cherché en vain l’âme du film en regrettant de n’être pas allée, en lieu et place, voir une expo. Je compte bien me reprendre cette semaine.
Ai également loué «The duchess», pas mal, mieux en tout cas que «Marie-Antoinette» de Sophia Coppola et «Une vielle maîtresse»…visionnés également cette semaine.
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